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Poussant le pavillon duquel glisse une fine rosée, vos pas foulent quelques plaques carrelées dispersées sur la pelouse afin de vous frayer un chemin. La mer est à peine audible mais la brise, elle, est bien réelle. Elle vient caresser votre visage tandis que votre main repousse le pavillon contre le portant grinçant. Les fleurs n'abondent pas, étouffées par la moiteur caractéristique d'Itwosard/mer en cet été mais surtout, par le jardin même qui est le témoin d'une négligeance sans égale. Les herbes sont hautes et sèches. Quelques arbustes mal taillés remuent, secoués par le vent. Vos pas gagnent néanmoins les marches qui mènent au parquet du porche au bois craquant sous vos pas. Une cloche pendant là n'attend que vous pour retentir. Celle-ci secouée, la porte d'entrée reste immobile. Les accoups suivants donnent même réponse à ces actions. Les volets aux fenêtres affirment eux aussi l'absence du propriétaire ... ou l'abandon.
Note : si dans un élan trollesque vous vous sentez d'humeur à forcer la porte ... merci de mailer. Mais attendez vous à des boules de feu en guise de portier. |
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